samedi 7 janvier 2012

UN LOGICIEL EASY POUR TELECHARGER LES INFOS D'UN COMPTE FACEBOOK,MEME SI VOUS N'Y AVEZ PAS ACCES



Quand on crée un site avec plus de 800 millions d’utilisateurs, on peut s’attendre à être la proie de tous les hackers de la planète, surtout quand on voit combien Facebook a pris une place importante dans la vie quotidienne des gens
Mais, je pense que je ne le répéterai jamais assez, méfiez-vous vraiment des informations que vous y mettez !
Non seulement Facebook risque de profiter un peu trop des petits secrets que vous lui confiez, des entreprises sans scrupules peuvent tout à fait récupérer des milliers d’informations personnelles sur les utilisateurs imprudents du réseau social (et ils sont nombreux), et voici que maintenant des outils sortent pour les particuliers, afin de permettre d’accéder aux informations, photos, liste d’amis, etc. d’un contact Facebook, même s’il n’est pas ami avec vous et qu’il a bloqué l’accès public à ces informations !
FBPwn est une application OpenSource écrite en Java qui va envoyer des requêtes d’amitiés vers le contact Facebook visé, et qui va s’empresser de télécharger les données du compte (Photos, informations personnelles, liste d’amis, etc.).
Comment ce logiciel procède-t-il ?
Le scénario de base envisagé par les développeurs est la création d’un compte Facebook bidon qui vous servira d’appât. Une fois ce compte créé, FBPwn va demander en ami tous les amis du contact Facebook visé, afin d’inspirer plus confiance à la victime. Le plugin de clonage vous demande ensuite de choisir un des amis pour cloner son compte (copie de la photo de profil et du nom affiché). Vous avez alors à disposition un compte Facebook pouvant donner confiance à la victime. Faites alors une demande d’ami, FBPwn va attendre que la victime accepte et, une fois qu’elle le fera, le logiciel va télécharger toutes les données sur votre ordinateur afin que vous puissiez les examiner dans le détail en étant hors-ligne.

lundi 26 décembre 2011

Comment Windows 8 veut simplifier et sécuriser les mots de passe

L’éditeur s’attaque cette fois à un gros morceau : la gestion des mots de passe au sein du système et donc le degré de sécurité qui en découle. Face à plusieurs problématiques inhérentes aux choix des mots par les utilisateurs, Windows 8 apportera plusieurs réponses.


La situation actuelle est trop complexe
Les mots de passe sont une protection pratiquement aussi vieille que l’informatique. Il est très vite apparu la nécessité de protéger des données via une série de caractères alphanumériques. Depuis, chacun en possède au moins pour son compte de courrier électronique, mais de la réflexion à la base du choix du mot découle le degré de protection. Dans l’idéal, il faudrait des lettres, minuscules et majuscules, des chiffres ainsi que des caractères spéciaux. De plus, toujours en idéalisant la situation, chaque compte devrait avoir son mot de passe unique.

Le problème est alors simple : plus l’utilisateur a de mots de passe complexes, plus il a de mal à s’en rappeler. Il existe du coup deux conséquences :
·         Les utilisateurs n’ont finalement que peu de mots de passe différents
·         Des méthodes tierces de stockage des mots de passe peuvent être mises en place
Ces deux constats ont chacun leur conséquence. Dans le premier cas, c’est une conséquence simple de sécurité : si un attaquant quelconque trouve un mot de passe, il peut accéder facilement à d’autres services. Le cas survient notamment quand un utilisateur se sert d’une adresse email et de son vrai mot de passe comme éléments d’identification sur un autre service. Dans le deuxième cas, il s’agit d’une solution efficace, mais uniquement si le mot de passe central est suffisamment fort (complexe). Il requiert cependant l’utilisation d’un produit dédié.

Les solutions proposées par Windows 8
Le futur Windows prendra en charge différentes méthodes d’identification. Les mots de passe pourront notamment être gérés de deux manières. La première est classique : un mot de passe par compte. L’éditeur explique qu’Internet Explorer 10, livré avec Windows 8, enregistrera bien entendu les mots de passe dans une zone sécurisée. Les sites web bloquant l’enregistrement du mot fonctionneront toujours comme tels.



L’autre méthode est l’héritage directe de 
l’intégration des comptes Live au cœur du système. L’utilisateur, s’il renseigne son compte Live, pourra choisir de synchroniser les mots de passe. Conséquence : toute identification sur un site web provoquera l’enregistrement des informations dans une zone sécurisée du compte. Il y a deux avantages : l’utilisateur n’a plus besoin de retenir les comptes, ce qui équivaut à un outil dédié, mais ces derniers seront en outre synchronisés sur les autres machines. En clair, l’utilisateur transporte avec lui ses mots de passe. Notez d’ailleurs que c’est également vrai pour d’autres données telles que les clés des réseaux Wi-Fi, et que les applications Metro disposeront d’une API capables de faire appel à cette fonction.

En aparté, signalons que cet enregistrement existe depuis des années avec les comptes MobileMe proposés par Apple. La firme de Cupertino a cependant décidé pour une raison inconnue de supprimer cette fonction 
lors du passage à iCloud. Il n’est cependant pas interdit qu’elle refasse son apparition plus tard.

Et en entreprise ?
D’autres méthodes sont supportées, notamment l’identification par clés publique/privée. Avec une telle infrastructure, l’authentification sur un service provoque une demande de ce dernier pour l’obtention de la clé privée, qu’il peut lire grâce à la clé publique. Les avantages sur le simple mot de passe sont multiples, mais on notera particulièrement l’impossibilité pour un keylogger d’enregistrer ces informations puisqu’il n’y a pas de frappe au clavier. Si cette méthode n’a pas supplanté le mot de passe, c’est qu’elle réclame un matériel dédié, comme une smart card ou une puce particulière. Problème : si l’utilisateur n’a pas ce matériel avec lui, il ne peut pas s’authentifier. De fait, la propagation chez le particulier est compromise.

Plusieurs modifications ont cependant été apportées. Premièrement, les clés publiques et privées peuvent être stockées dans un KSP (Key Storage Provider) qui utilise l’environnement TPM (Trusted Platform Module) pour assurer leur protection. Les TPM sont courants en entreprise, et c’est à elles que s’adresse ce changement. Les applications Metro disposent de plus d’une API permettant d’appeler cette fonctionnalité.

Dans les cas des sociétés plus grandes qui utilisent des infrastructures de smart cards, Windows 8 peut utiliser le TPM comme une carte virtuelle. Microsoft assure que cette possibilité, si elle est activée, ne demande aucune modification coté client ou serveur : les services et applications réclamant une smart card la détectent en tant que telle.

Mais la principale nouveauté pour le grand public sera surtout l’enregistrement des mots de passe dans le compte Live. Ce dernier aura donc une importance cruciale et, s’il est utilisé, réclamera un mot de passe particulièrement fort. Un constat identique en fait à la situation avec iCloud d’Apple ou Google, ces comptes renfermant une proportion toujours plus importante de la vie numérique des utilisateurs.

Windows 7 et Safari : une faille de sécurité « 0-day » a été découverte

Secunia, une société spécialisée dans la sécurité informatique, a récemment émis un bulletin d'alerteconcernant une faille, qualifiée de hautement critique, pour les utilisateurs de Safari sur Windows 7. En effet, celle-ci est de type « 0-day », ce qui signifie donc qu'elle peut donc d'ores et déjà être exploitée au moment où elle est révélée.
Pour exploiter cette faille, il faut envoyer à Safari une page web contenant une iFrame de très grande taille. Cela entrainera alors une erreur dans l'API NtGdiDrawStream qui se trouve, une nouvelle fois, dans le fichier win32k.sys.

Cette action aura pour conséquence de corrompre la mémoire et, suivant les cas, de provoquer un BSOD ou d'exécuter des lignes de codes arbitraires avec un niveau d'autorisation très élevé.

Secunia précise que la faille a été confirmée sur une version entièrement mise à jour de Windows 7 64 bits, mais que les autres versions peuvent également être touchées.

Actuellement aucune mise à jour ne semble être disponible, que ce soit du côté de Microsoft pour Windows 7, ou d'Apple pour Safari. Nous recommandons donc d'être prudent si vous utilisez cette combinaison de logiciels.

dimanche 18 décembre 2011

UN OUTIL POUR OPTIMISERVOTRE CONNEXION WIFI SUR WINDOWS

Le Wifi, malgré ses potentiels défauts de sécurité, est très largement utilisé sur les ordinateurs portables pour accéder à Internet (faut dire que c’est bien plus pratique que de se balader avec un câble ethernet dans tout l’appartement…).
Mais malheureusement la qualité de la connexion est en général bien moindre sur un accès sans fil, notamment à cause de la latence plus importante, ce qui peut être problématique pour les jeux en ligne, Skype, les messageries instantanées et même pour la navigation sur Internet.
Mais voici une petite application bien pratique pour Windows qui améliore les temps de latence dans votre connexion Wifi, afin de diminuer les lags sur votre ordinateur !
WLAN Optimizer commence à optimiser la connexion Wifi entre votre ordinateur et votre point d’accès dès son lancement.

Vous avez la possibilité de tester plusieurs options en cliquant sur l’onglet Settings, comme par exemple de désactiver l’Autoconfig de Windows, le scan en tâche de fond et le mode streaming.
Le développeur de cette application conseille de ne pas désactiver l’Autoconfig pour ne pas perdre en confort et en facilité d’usage sur votre ordinateur.
Après rien ne vous empêche de tenter plusieurs types de configurations si cela ne suffit pas à améliorer votre connexion Wifi.
WLAN Optimizer est disponible gratuitement pour Windows Xp, Vista et 7 à cette adresse.
Et si cela ne suffit toujours pas à améliorer votre connexion, je vous suggère de jeter un oeil ici pour réaliser une carte de la réception Wifi de votre domicile, afin d’optimiser le placement de vos points d’accès ;-)

Un message SMS simple ou Facebook peut bloquer Windows Phone 7

Windows Phone 7 peut être victime d’une attaque transitant par la messagerie. C’est la conclusion de WinRumors qui, après en avoir été alerté par un lecteur, a confirmé le problème. D'après le site, la faiblesse ne semble pas relever d'une faille de sécurité mais bien de la manière dont le système mobile gère les messages.
WinRumors a donc effectué des tests sur plusieurs appareils, notamment les Titan de HTC et Focus Flash de Samsung. Le problème n’est donc pas spécifique à un smartphone en particulier. Il n’est pas non plus l’apanage d’une version précise de Windows Phone 7 puisque certains téléphones possédaient la mouture 7720 (Mango) et d’autres la 7740 (dernière en date).

Le souci survient lors de l’interprétation d’un message par le système d’exploitation. Par message, il faut comprendre en premier lieu SMS, mais pas seulement, car Windows Phone 7 traite la messagerie de manière unifiée. Conséquence : le problème est reproductible sur un message envoyé par Facebook ou Windows Live Messenger, le système traitant l’ensemble depuis une fonctionnalité centrale.
Toutefois, puisque chaque élément est lié aux autres, le problème peut surgir d’autres manières. Si l’utilisateur a par exemple épinglé un contact sur l’écran d’accueil et que ledit contact met à jour son statut Facebook, la vignette reflète le message et peut déclencher l'attaque.

Dans tous les cas, le message, s’il est spécialement conçu, peut en effet provoquer littéralement un déni de service. La fonction Messagerie se bloque et le hub des messages devient alors inaccessible, avant d’entraîner un « freeze » complet du téléphone. Un reboot ne change rien : le hub reste inaccessible, puisque le message y est toujours stocké.

La racine du problème a été découverte par Khaled Salameh avant d’être transmise à WinRumors. Sur ce dernier, le rédacteur Tom Warren indique qu’après tests, les informations ont été remontées de manière confidentielle à Microsoft pour analyse et correction.

En attendant qu’une mise à jour soit diffusée, il n’existe pas de solution pour déjouer l’attaque si elle se déclenche. On peut en limiter les portes d’entrée, notamment en supprimant les contacts épinglés sur l’écran d’accueil ou en coupant le lien vers Facebook, mais il reste également Live Messenger et surtout les SMS. Khaled Salameh a refusé de partager les détails de sa trouvaille avec d’autres que WinRumors pour éviter que ne se produise un « désastre ».

WinRumors note qu'iOS et Android ont eux aussi été les victimes de ce type de problème en leur temps. Côté iOS, une faille découverte par Charlie Miller affectait la version 3.0 du système et permettait de prendre le contrôle de l'iPhone via un SMS. Côté Android, un tel contrôle n'était pas possible mais un SMS pouvait provoquer l'extinction du smartphone.

RIM, le fabricant des BlackBerry, continue sa lente descente aux enfers

Mise à jour : RIM vient de publier son dernier bilan financier et confirme les chiffres ci-dessous. Si grâce aux bonnes ventes de ses tablettes, son chiffre d'affaires a atteint 5,2 milliards de $, soit une hausse d'environ 1 milliard de $ (+24 %) sur trois mois, son bénéfice net a bien sombré comme prévu. Il n'est ainsi que de 265 millions de $, soit bien loin de ses précédents résultats.

Néanmoins, malgré la PlayBook, RIM affiche un chiffre d'affaires inférieur à celui du même trimestre de 2010, qui avait atteint quasi 5,5 milliards de $, pour un bénéfice net de 911 millions de $. Au final, les résultats des neuf premiers mois de son année fiscale 2011 sont plus faibles qu'en 2010. Certes, le chiffre d'affaires est quasi équivalent (14,245 Mds contre 14,351 Mds en 2010), mais surtout, son bénéfice net s'est écroulé, passant de 2,477 Mds de $ en 2010 à 1,289 milliard cette année. La faute à des marges bien plus faibles qu'auparavant, notamment du côté des smartphones.

14,1 millions de BlackBerry et 150 000 tablettes PlayBook ont été livrées au cours de son troisième trimestre fiscal 2011, clos le 26 novembre dernier. Cela ne signifie pas que RIM a vendu 150 000 tablettes. Il faut en effet prendre en compte les stocks des trimestres précédents. Rappelons ainsi que RIM a livré 500 000 PlayBook lors de son premier trimestre fiscal, et 200 000 supplémentaires le trimestre suivant.

Vendue initialement à 499 $, la PlayBook de 16 Go a été proposée un temps au prix cassé de 199 $, soit une ristourne non négligeable de 300 $. En France, il est possible de la retrouver actuellement à moins de 300 €. Néanmoins, les stocks sont limités, surtout aujourd'hui après les bonnes ventes de ces dernières semaines.

Enfin, l'avenir de RIM ne s'annonce guère fameux. La société canadienne annonce en effet qu'elle prévoit pour son dernier trimestre fiscal un chiffre d'affaires entre 4,6 et 4,9 Mds de $, et surtout des ventes très faibles de BlackBerry, entre 11 et 12 millions d'unités.




Article du 2 décembre 2012.

Le Canadien RIM traverse une année 2011 décidément très difficile. Alors que les ventes de ses BlackBerry subissent la concurrence importante de l’iPhone et des Androphones, la société n’a pas réussi à convaincre avec sa tablette PlayBook. Résultat, RIM a dû brader sa tablette ces derniers jours afin d’écouler ses stocks et faire face à la Kindle Fire d’Amazon. Les conséquences financières ont été immédiates, tout comme la sanction de ses actionnaires.

Avec RIM, nous vivons ici un scénario quasi similaire à celui de Hewlett-Packard. Ce dernier, afin de liquider ses stocks de TouchPad suite à l’abandon de webOS sur tablette, a bradé comme personne cette dernière. L’impact sur ses finances a été importante. Son bénéfice trimestriel est ainsi passé de 2,5 milliards de $ à 239 millions…

Pour RIM, la chanson est la même. Et si la braderie est moindre que chez HP, les conséquences pour la firme canadienne sont peut-être plus importantes au final. Avec un manque à gagner annoncé de 485 millions de $, les soldes forcées de RIM sont dispendieux.

Une action divisée par 10 en 3 ans
En bourse, la sanction est lourde, avec une chute proche de 9 %, que ce soit au NASDAQ (USA) et au TSE 300(Canada). L’action de RIM vaut ainsi environ 17 $ aujourd’hui, contre près de 70 $ en février dernier et près de 150 $ en juin 2008. En somme, l’action de RIM a perdu 75 % de sa valeur en 10 mois, et près de 89 % de sa valeur en trois ans et demi…

Résultat, RIM est aujourd’hui valorisé à environ 9 milliards de $, contre 36 milliards en février dernier et 178 milliards en 2008… Mais à cette époque, ni Android ni l’iPhone n’étaient aussi importants sur le marché des smartphones. Le bide de la PlayBook n’a fait que conforter une situation déjà mal engagée.

Et pourquoi pas un rachat ?
Depuis quelques mois, RIM fait donc logiquement l’objet de rumeurs annonçant son rachat. La dernière en date affirmait notamment que Vodafone était intéressé. Mais il ne s’agit que d’une rumeur…

RIM repousse ses futurs smartphones BlackBerry à... la fin 201

RIM avait annoncé en octobre que le futur de sa plateforme passerait par BBX, la fusion des systèmes d’exploitation BlackBerry OS et QNX, ce dernier étant à la base destiné aux tablettes. Le 8 décembre, on apprenait que RIM ne pouvait plus utiliser ce nom à cause d’une société commercialisant un produit homonyme. Résultat, le nouveau nom officiel est devenu BlackBerry 10. Aujourd’hui, après l’annonce de mauvais résultats financiers, la firme s’ajoute un nouveau boulet au pied : le report des futurs smartphones sous BlackBerry 10 à la fin de l’année 2012.




RIM n’en finit plus d’accumuler les mauvaises nouvelles. L’arrivée des smartphones sous BlackBerry devait intervenir durant le premier semestre 2012, apportant une vague de sang neuf. Mais le constructeur a dû réviser ses plans. 

En cause, l’arrivée tardive d’une nouvelle génération de puces LTE que RIM souhaite absolument avoir dans ses téléphones. Or, ces fameuses puces ne pourront arriver au plus tôt qu’en juillet 2012. Les smartphones BlackBerry 10 sont donc reportés à la fin de l’année, un retard qui ne peut qu’obscurcir encore davantage son devenir.

Car BlackBerry 10 est crucial pour l’avenir de la firme. De la même manière qu’Android 4.0 joue le rôle d’une couche égalisatrice chez Google, l’ex-BBX doit unifier les API et donc le développement des applications tierces sur les appareils BlackBerry. L’arrivée du système est d’autant plus importante que RIM a des prétentions dans le monde des tablettes et qu’un développement aisé est l’un facteurs-clés de la réussite.

Cette énième mauvaise nouvelle fait maintenant craindre le pire pour la société. Le Huffington Post cite ainsi l’analyste Colin Gillis de chez BGC Financial, pour qui la direction de RIM doit absolument se ressaisir et qui se demande si la firme ne se dirige pas vers un effondrement. Comme le rappelle, l’action RIM a perdu en une seule année environ 75 % de sa valeur.